Marlène Dzierzynski
L'enfant qui n'aurait pas dû naître
Le récit bouleversant de deux naissances : Un bébé follement désiré par Lilou, sa mère, un autre bébé abandonné par sa mère Lamia. Que cachent ces deux évènements ? Une histoire mêlée de personnages aux destins surprenants. Quelques années plus tard Thomas, le fils de Lilou disparaît. A-t-il été enlevé, tué ou est-il décédé accidentellement ? Le mystère de révélation en révélation plonge la vie de ces personnages dans un drame absolu.
« Un roman qui vous entraîne loin, bien plus loin que le possible
La clepsydre
L’écriture « passeur » de l’invisible reste le mystère de la parole, elle est un lien pour tous les modes de communication inexprimable et tente de faire comprendre la symphonie des mots. L’écriture avec ses mots sert aussi à la relation avec le monde des sons, des couleurs, des joies, des peines, des peurs, des odeurs de la vie en extériorisation des pensées profondes de l’être humain.
Lorsque l’auteur écrit, son stylo devient la clef qui ouvre la porte à ses mots qui flânent au gré de ses états d’âme et créent sa poésie, ses histoires en vibrations d’un imaginaire qu’elle offre à ses lecteurs dans ce recueil « la clepsydre » l’objet ancestral qui symbolise le temps qui passe inexorablement.
« Le miroir aux revenants »
Bastien, principal personnage de ce roman est un miroir, plus exactement une jolie psyché qui vous fera sourire ou vous fera frissonner à travers la vie surprenante des personnages en rencontres improbables, leurs relations tumultueuses, leurs recherches de l’amour avec un grand « A », leurs séparations, leurs déchirures.
Des secrets de famille parsemés de vérité et de mensonge.
La lecture d’un courrier révèlera-t-elle le mystère d’une naissance ? Ou la réponse viendra-t-elle de l’au-delà ?
Alors, méfiez-vous des miroirs…
La onzième rose
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Fascinée par l’écriture depuis son enfance, l’auteure vous offre là, un recueil de poèmes aux mots nés d’une écriture inspirée, cette écriture secrète de l’âme issue d’une entité, ouvrant la voie à l’infinitude des émotions, à l’infinitude du langage au-delà des mots transmetteurs de sentiments enfouis. Un langage poétique aux mots libérés, parfois métaphoriques, en lumière du cœur qui fait parler l’absence et la présence, la beauté de la nature et la laideur du monde, les joies et les peines, l’amour, la peur, la colère, le chagrin, l’espoir.
L’auteure ouvre la boîte de pandore d’où s’envolent des mots en sentiments humains, en chant d’amour dans ce monde en quête du bonheur qui trop souvent nous blesse...
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Mark, célèbre écrivain, s’est installé dans le manoir hérité de sa mère. Un soir, à l’orée du parc, une énorme chauve-souris frôle Mark, surpris, il voit celle-ci disparaître et laisser place à une forme humaine qui s’évapore, le laissant tétanisé.
Depuis des années, Mark vit une liaison sulfureuse avec son éditrice Charlotte. Cette trahison détruira son mariage avec son grand amour Émilie. L’hédonisme de Mark, le projette sans cesse dans une relation érotique avec Charlotte. Pourtant, le souvenir de sa vie avec Émilie, son véritable amour, le hante en réminiscence douloureuse.
Sa sœur Alice sera amenée à lui narrer le terrible secret vécu dans cette demeure par leurs parents et confié à elle seule.
La découverte d’un souterrain et celle de onze cahiers trouvés dans une chapelle en ruine, conduiront Mark à vivre des événements terrifiants.
Le passé de son père Michael, disparu mystérieusement, lorsqu’il avait cinq ans, le confrontera à une réalité démentielle…Il se trouvera plongé dans un voyage au cœur de deux mondes parallèles improbables. Les manifestations surnaturelles immergeront Mark le « cartésien », dans un doute, un questionnement perpétuel…
Les forces du mal s’empareront-elles de lui et des êtres qu’il aime ? Réussiront-ils à gagner la lutte entre le bien et le mal ? Qui sont ces forces du mal ? Où est le bien ? Qui est le grand Maître de cérémonie ?
commentaires des lecteurs
"L'éclipse d'un Soleil"
Une poésie riche de ses mots, de ses émotions, faisant une part belle au talent de cette poétesse qui réussit à faire parler l'âme.
Une lecture qui procure un apaisement à la vie et dont je conseille de lire et relire son ouvrage de toute beauté.
Martine barailler
Bonjour Marlène, j'ai commencé la lecture de votre livre, certaines poésies me touchent beaucoup, je citerai votre ode (je lis en chantant ...) sur la maternité est poignante et le texte de la séparation est d'un réalisme époustouflant, mettre des mots sur des ressentis semble pour vous le résultat d'une rare aisance poétique. Merci.
Jean-paul Bicheyre